Texts
Σῴζεό σοι μέλλων ἐνέπειν, παλίνορσον ἰωὴν
ἂψ ἀνασειράζω, καὶ πάλιν ἄγχι μένω:
σὴν γὰρ ἐγὼ δασπλῆτα διάστασιν οἷά τε πικρὴν
νύκτα καταπτήσσω τὴν Ἀχεροντιάδα.ἤματι γὰρ σέο φέγγος ὁμοίιον ἀλλὰ τὸ μέν που
— Paton edition
ἄφθογγον σὺ δέ μοι καὶ τὸ λάλημα φέρεις,
κεῖνο τὸ Σειρήνων γλυκερώτερον, ᾧ ἔπι πᾶσαι
εἰσὶν ἐμῆς ψυχῆς ἐλπίδες ἐκκρεμέες.
"Farewell'' is on my tongue, but I hold in the word with a wrench and still abide near thee. For I shudder at this horrid parting as at the bitter night of hell. Indeed thy light is like the daylight ; but that is mute, while thou bringest me that talk, sweeter than the Sirens, on which all my soul's hopes hang.
— Paton edition
« Adieu » : sur le point de t’adresser ce mot, je reviens en arrière et le retiens, et de nouveau je reste près de toi ; c’est que cette terrible séparation d’avec toi, je la redoute à l’égal de l’odieuse nuit de l’Archéron. Ton éclat est pareil à celui du jour ; encore, lui, est-il muet, tandis que toi, tu m’apportes en plus ce parler plus doux que celui des Sirènes, auquel sont accrochés tous les espoirs de mon âme.
— Waltz edition
« Adieu » : sur le point de t’adresser ce mot, je reviens en arrière et le retiens, et de nouveau je reste près de toi ; c’est que cette terrible séparation d’avec toi, je la redoute à l’égal de l’odieuse nuit de l’Archéron. Ton éclat est pareil à celui du jour ; encore, lui, est-il muet, tandis que toi, tu m’apportes en plus ce parler plus doux que celui des Sirènes, auquel sont accrochés tous les espoirs de mon âme.
— Waltz edition
"Farewell'' is on my tongue, but I hold in the word with a wrench and still abide near thee. For I shudder at this horrid parting as at the bitter night of hell. Indeed thy light is like the daylight ; but that is mute, while thou bringest me that talk, sweeter than the Sirens, on which all my soul's hopes hang.
— Paton edition
Σῴζεό σοι μέλλων ἐνέπειν, παλίνορσον ἰωὴν
ἂψ ἀνασειράζω, καὶ πάλιν ἄγχι μένω:
σὴν γὰρ ἐγὼ δασπλῆτα διάστασιν οἷά τε πικρὴν
νύκτα καταπτήσσω τὴν Ἀχεροντιάδα.ἤματι γὰρ σέο φέγγος ὁμοίιον ἀλλὰ τὸ μέν που
— Paton edition
ἄφθογγον σὺ δέ μοι καὶ τὸ λάλημα φέρεις,
κεῖνο τὸ Σειρήνων γλυκερώτερον, ᾧ ἔπι πᾶσαι
εἰσὶν ἐμῆς ψυχῆς ἐλπίδες ἐκκρεμέες.
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